Causse Méjean suite et fin.

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Pour clore cette petite visite sur le Causse Méjean je vous propose un focus sur 2 espèces emblématiques du Causse : Le mouton et le cheval de Przewalski.

L’élevage de brebis pour la viande ou pour le lait (et donc le fromage) façonne depuis des siècles le paysage du Causse. Et il est quasiment la seule activité agricole possible. Le paturage par les moutons a permis à une flore caractéristique du Causse de se développer durablement et contribue ainsi à la biodiversité.

Les chevaux de Przewalski sont les derniers chevaux sauvages jamais domestiqués et le Causse héberge en semi liberté (sur 400 ha) une petite population de chevaux avec l’objectif d’en réintroduire en Mongolie où ils avaient été exterminés. Cette population unique a été constituée à partir des rares animaux qui avaient été conservés dans des zoos car aucun cheval en liberté n’avait survécu.

Je précise aux personnes sensibles que les morsures, ruades et autres relations de ce type font partie d’un rituel de jeux, de positionnement hiérarchique ou de combat. Seule l’intensité et la force fait la différence

entre le jeu et le combat. A voir les cicatrices on peut souhaiter des jeux plus calmes.

Ces photos sont dans la galerie Au fil des saisons

 

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5 Responses

  1. JACQUES WATTEL

    Bonjour,
    Je vous remercie beaucoup pour le partage de vos travaux qui donnent à voir toute la Beauté, tellement indispensable, de la Nature,
    Vos prises de vues sont tout simplement magnifiques.
    Cordialement.

  2. Jean SADOUX

    Somptueux, comme d’hab !

    Les chevaux me font penser à ceux que l’on rencontre dans les peintures rupestres sur les parois des grottes de Lascaux par exemple… assez trapus, avec une encolure très forte, et une forme de tête très caractéristique…

    Merci Bernard.

  3. Jean SADOUX

    Somptueuses photos, comme d’hab !

    Les chevaux me font penser à ceux que l’on rencontre sur les peintures rupestres comme celles de Lascaux (par exemple) : assez trapus, avec une forme de tête particulière et surtout une forte encolure…

    Merci Bernard.

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